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Très franchement, comment envisager sa retraite d'un cour serein après plus de quarante ans passés en cage laborieuse devenue quasi une seconde maison ? Eh, tel le Chien de la fable de La Fontaine face à compère Loup, c'est que je m'y étais attaché, à mon collier municipal.
Alors, face au grand saut dans l'inconnu, BRRRR.
Mais il n'y avait pas à tortiller, l'heure c'est l'heure - comme répétait mon grand-père.
Alors, une fois expulsé de mon cocon bosseur - effet de l'étourdissante griserie de toute cette masse de temps dégagé des contraintes d'avant ? - révolution.
Une sorte de réveil, chamboulement absolu à progressivement entrevoir les choses : COMMENT DONC j'avais pu survivre si longtemps sous pression professionnelle ?