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« Les poètes ont trop menti » (Friedrich Nietzsche).
Si ce livre perpétue le mensonge à sinistres facettes, que votre rire, sourire, dépit, désappointement, jalousie, rancour, amertume, ressentiment ou autre dédain accompagne votre lecture ; cependant, depuis et car récit propre ment tout en faisant progresser le vrai, lequel, voilé, interpelle la brume.
Que parole se dégèle, ainsi de la cervelle humaine.
Que cesse ma peur de toi, juge bienveillant, suprême inquisiteur et que reste vain ce réquisitoire à large farce préfacière !
Bon vent lecteur pour ta paille à chaise.