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Actions humanitaires
J'adore l'auteure quand elle m'emmène dans un polar bien ficelé.
Mais ici j'ai eu l'impression de lire des reportages de guerre.
Dans son roman Karine Giebel alterne entre les actions humanitaires et les retours du personnage chez lui.
Grégory, infirmier, obnubilé à vouloir sauver les autres mais pas sa propre famille.
Grégory personnage que j'ai parfois eu quelques difficultés à bien cerner, et qui a d'autres moments m'a paru peu crédible.
L'idée de base est très bonne : rendre hommage à tous ceux qui œuvrent pour la Croix Rouge pour apporter soutien et soins aux populations,
faire (re)découvrir ces pays malmenés par une guerre qui n'en finit pas.
Mais l'auteure a voulu trop en mettre et le récit bascule vite dans l'insupportable tant il y en a, et ... trop c'est trop.
Karine Giebel va nous emmener au Kenya, plusieurs fois en Bosnie, au Rwanda, en Tchétchénie, en Colombie, en Russie, au Sénégal, au Liberia, au Pakistan, au Congo, sur la bande de Gaza, en Afghanistan.
Passé la moitié du livre je n'avais plus qu'une envie, celle de lire les passages sur la France.
Et même là j'ai eu quelques déceptions face à l'attitude incompréhensible de Grégory envers son fils.
Même si la fin peut engendrer de la curiosité pour savoir ce qui va arriver aux personnages, je ne crois pas pour autant que je lirai la suite.
C'est un style qui peut plaire mais qui n'est pas pour moi.
Trop c'est trop !
J'adore l'auteure quand elle m'emmène dans un polar bien ficelé.
Mais ici j'ai eu l'impression de lire des reportages de guerre.
Dans son roman Karine Giebel alterne entre les actions humanitaires et les retours du personnage chez lui.
Grégory, infirmier, obnubilé à vouloir sauver les autres mais pas sa propre famille.
Grégory personnage que j'ai parfois eu quelques difficultés à bien cerner, et qui a d'autres moments m'a paru peu crédible.
L'idée de base est très bonne : rendre hommage à tous ceux qui œuvrent pour la Croix Rouge pour apporter soutien et soins aux populations, faire (re)découvrir ces pays malmenés par une guerre qui n'en finit pas.
Mais l'auteure a voulu trop en mettre et le récit bascule vite dans l'insupportable tant il y en a, et ... trop c'est trop.
Karine Giebel va nous emmener au Kenya, plusieurs fois en Bosnie, au Rwanda, en Tchétchénie, en Colombie, en Russie, au Sénégal, au Liberia, au Pakistan, au Congo, sur la bande de Gaza, en Afghanistan.
Passé la moitié du livre je n'avais plus qu'une envie, celle de lire les passages sur la France.
Et même là j'ai eu quelques déceptions face à l'attitude incompréhensible de Grégory envers son fils.
Même si la fin peut engendrer de la curiosité pour savoir ce qui va arriver aux personnages, je ne crois pas pour autant que je lirai la suite.
C'est un style qui peut plaire mais qui n'est pas pour moi.