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C'est avec la réforme du secteur le secteur des communications dans les années quatre-vingt que les consommateurs commencent à être considérés comme des acteurs à part entière. Depuis lors, les questions que les consommateurs se posent (qualité et prix des services, ainsi que le service universel) sont portées sur le devant de la scène dans les débats sur les télécommunications. Or, sans une intervention efficace du pouvoir public, les consommateurs sont abandonnés à la merci du marché, avec des conséquences tout autant néfastes pour le développement du pays que pour l'épanouissement de ses citoyens.
Dans la perspective de la protection des consommateurs, le contrôle des opérateurs doit être envisagé, et revient au régulateur, notamment sur les questions des tarifs des services, de qualité de service, et de l'ampleur de la couverture réseau. Ainsi, la politique du gouvernement sur les télécommunications et les régulations subséquentes doit s'assurer que les consommateurs sont informés et autonomes et que leurs droits sont, en permanence, protégés.
En outre, les antennes-relais des opérateurs télécoms produisent des ondes électromagnétiques pulsées auxquelles l'espèce humaine est exposée. Enfin, la nouvelle dynamique qui émerge dans les télécommunications contribue beaucoup à l'émergence de la corruption dans ce secteur. De cette façon, les profits de l'entreprise ou les recettes de l'administration sont réduits dès lors que les dirigeants abusent de leurs positions à des fins personnelles.
Enfin, le monde s'est ouvert à l'économie numérique. Il revient à l'Etat de mettre en place des politiques qui conduisent à l'établissement d'un environnement qui crée une économie numérique locale, connectée à d'autres.