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Supposons que "s'entendre sur les mots" permette de "faire cause commune" et que cela ne marche pas, soit qu'on ne s'y "entende" pas très bien. Qu'alors à faire cavalier seul on se trouve, par exemple, fauteur de trouble, de Causes cavalières. Turbulent "aux seuls endroits entendus", Pascal Poyet décline d'inconciliables formulations, conditions de s'unir ou de se séparer, de prendre fait et cause, pour une cause, finalement imprévue, devenue telle cavalièrement, quand elle aurait dû être (la cause est) "entendue", par exemple.