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A la suite de Djinn jaune, se poursuit la fiction colorimétrique du poème. Un foisonnement de références — cinématographiques, littéraires, scientifiques — se mêle subtilement aux observations du quotidien pour sous-tendre l'ensemble de cette écriture au scalpel. En peu de mots David Lespiau nous transmet une intense réflexion, comme une fleur de papier comprimée qui va se déployer lentement et longtemps dans nos esprits.