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"Tant de cris pour naître Tant de souffle à mourir entretemps la folie souffrante entre guerres et dieux odieux vaguant dans les ricanements de maquerelles aux ports mais toi accablée sous les câlines ô Triumvirs d'amour toi qui fleures à la fois vergers et la forêt Sylvie-Rose trop tard j'irai relever les falaises qui nous infligent leurs siècles varechs et lichens noircissent nos espoirs roule la mer son énorme vacarme funèbre alors alourdis nous couchons nos os au lieu d'y danser en deux soeurs très distantes"