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"Je me souviens encore des baskets bleues et des jambes nues de Vivia Perpétua, qui s'appuya sur mon épaule pour se hisser à l'intérieur du buffet d'orgue. Recroquevillés et imbriqués à ne former qu'un seul corps, faces, joues, épaules et fessiers compactés en une seule chair, doigts clenchés dans les tendons et les nerfs, nous avions le nez sur cette minuterie.3 Une montagne, le Sonnenberg, une abbaye-pensionnat, des collégiens ardents, des adultes fébriles, écrivent le dernier acte d'un monde en train de s'effacer.
Il y faut le souffle mystérieux d'Ashley, un orgue rare refusant de se taire, pour que les esprits s'ouvrent, que les corps se libèrent et que le nouveau monde s'épanouisse.