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De ce concept si vaste, de ces concepts qui s'ouvrent, lorsque que se prononce le mot temps, nous avons extrait une toute petite partie, pourtant encore très large, celle qui peut se regrouper sous ce titre. C'est la préposition qui permet de réduire le champ, tout en nous permettant de nous centrer, soit sur ce qui relève de la pratique psychanalytique (le temps de la fin de cure, par exemple, ou le temps de dire ou le temps d'un rêve, d'un pas, d'un détour, d'une halte, au cours de la cure), soit sur ce qui, dans des champs limitrophes ou un peu plus éloignés de celui de la psychanalyse ou de la pratique clinique, contribue à nous faire avancer, dans notre gestion du quotidien, d'un segment de notre vie et, au deuxième degré, dans notre pensée, notre conception.
Esprit du temps... ou temps de l'esprit ?