Richard Ste-Marie est né à Québec en 1945. Après une carrière de trente ans à l'École des arts visuels de l'Université Laval, il a pris sa retraite de l'enseignement en 2000. Ses ouvres ont été exposées dans plus de soixante-dix expositions personnelles et collectives au Canada et à l'étranger. De 2002 à 2010 il a été animateur à CKRL où il a interviewé plus de six cents créateurs. Musicien, il a été membre de la Fanfafonie, une des troupes fondatrices du Cirque du Soleil en 1984.
Son roman L'Inaveu, finaliste 2012 du Prix Saint-Pacôme du roman policier, a remporté le prix Coup de cour, décerné par le club de lecture de la bibliothèque Mathilde-Massé de Saint-Pacôme, honneur qu'il a de nouveau remporté en 2016 pour Le Blues des sacrifiés.
Né à Beaulac-Garthby, André Jacques vit aujourd'hui à Sherbrooke. Après des études en Lettres à l'Université Laval, à l'Université d'Aix-en-Provence et à l'Université Paris VIII, il a été professeur de littérature, de cinéma et d'histoire de l'art au cégep de Thetford Mines.
Il a publié trois romans policiers chez Québec Amérique : Les Lions rampants, La Commanderie et La Tendresse du serpent (Prix Alfred-DesRochers 2008), et deux autres, De pierres et de sang et La Bataille de Pavi, mettant toujours en scène l'antiquaire Alexandre Jobin, chez Druide. Il a aussi publié quelques nouvelles policières dans Alibis et XYZ. Sa nouvelle « Le Traducteur » a obtenu le prix Alibis 2007.
Jean-Jacques Pelletier a enseigné la philosophie pendant plusieurs années au cégep Lévis-Lauzon.
Il siège toujours sur de nombreux comités de retraite et de placement.
Écrivain aux horizons multiples, le thriller est pour lui un moyen d'intégrer de façon créative l'étonnante diversité de ses centres d'intérêt : mondialisation des mafias et de l'économie, histoire de l'art, gestion financière, zen, guerres informatiques, techniques de manipulation des individus, chamanisme, évolution des médias, progrès scientifiques, troubles de la personnalité, stratégies géopolitiques.
Depuis L'Homme trafiqué jusqu'à La Faim de la Terre, dernier volet des « Gestionnaires de l'apocalypse », et des Visages de l'humanité jusqu'à On tue., c'est un véritable univers qui se met en place.
Dans l'ensemble de ses romans, sous le couvert d'intrigues complexes et troublantes, on retrouve un même regard ironique, une même interrogation sur les enjeux fondamentaux qui agitent notre société.
Né en France en 1943, Longueuillois depuis 1968, il a été professeur au cégep Édouard-Montpetit jusqu'à sa retraite. Fondateur de la revue Solaris (née Requiem) en 1974, Norbert Spehner a écrit plusieurs ouvrages bibliographiques sur la SF, le fantastique, les tueurs en série, etc.
Le Roman policier en Amérique française (Alire, 2000) lui a mérité le prix Arthur-Ellis 2001, volet francophone. Il a fait paraître, toujours chez Alire, Scènes de crimes (2007) et Le Roman policier en Amérique française T.2 (2012). Depuis plusieurs années, Norbert Spehner commente la littérature policière dans la revue Alibis et au quotidien La Presse.