On entre très vite dans le vif du sujet et on retrouve le commandant Helen Grace aux prises avec 3 gros incendies quasi en simultané et en pleine nuit. Elle comprend vite que les 2 premiers n'avaient pour but que de détourner les pompiers. Mais qu'à donc à se reprocher cette famille sans histoire pour qu'on leur inflige une mort aussi atroce. Seuls le papa et son fils, qui a réussit à sauter par la fenêtre de sa chambre, s'en sortiront.
Helen a à peine le temps de spéculer sur un tel crime que la nuit suivante 3 nouveaux incendies sont déclarés, tous à bonne distance les uns des
autres pour perturber l'action des secours. Le nombre de mort augmente autant que la pression qui pèse sur les forces de police et les pompiers.
Encore une fois pas de temps mort dans ce polar, pas de pause ni de répit.
Les chapitres très courts sont là pour donner le rythme, avec des rebondissements et des fausses pistes.
Impossible d'imaginer qui est l'assassin et ses motifs.
Dans ce 4ème opus Helen commence à se détacher peu à peu de ses démons et à prendre au sérieux son jeune rôle de marraine.
Avec les personnages d'Helen et de Charlie on a un travail plus approfondi sur le besoin de reconnaissance des femmes dans ce métier majoritairement masculin.
Une très belle enquête et un bon questionnement sur le devenir des enfants délaissés.
Avec ces petits chapitres où s'exprime l'assassin on peut très bien cerner le personnage et le malaise qui l'habite.
Une ambiance punch, électrique et stressante.
Un polar toujours aussi bien écrit, un suspense très bien mené, une bonne intrique et un excellent dénouement.
Arlidge continu de nous surprendre.
Une lecture palpitante et je sui curieuse de découvrir "Oxygène" pour connaître l'évolution de la relation entre Helen et Jonathan Gordam son nouveau supérieur, et suivre la carrière de cette peste de'Emilia
Pas de temps mort dans ce polar
On entre très vite dans le vif du sujet et on retrouve le commandant Helen Grace aux prises avec 3 gros incendies quasi en simultané et en pleine nuit. Elle comprend vite que les 2 premiers n'avaient pour but que de détourner les pompiers. Mais qu'à donc à se reprocher cette famille sans histoire pour qu'on leur inflige une mort aussi atroce. Seuls le papa et son fils, qui a réussit à sauter par la fenêtre de sa chambre, s'en sortiront.
Helen a à peine le temps de spéculer sur un tel crime que la nuit suivante 3 nouveaux incendies sont déclarés, tous à bonne distance les uns des autres pour perturber l'action des secours. Le nombre de mort augmente autant que la pression qui pèse sur les forces de police et les pompiers.
Encore une fois pas de temps mort dans ce polar, pas de pause ni de répit.
Les chapitres très courts sont là pour donner le rythme, avec des rebondissements et des fausses pistes.
Impossible d'imaginer qui est l'assassin et ses motifs.
Dans ce 4ème opus Helen commence à se détacher peu à peu de ses démons et à prendre au sérieux son jeune rôle de marraine.
Avec les personnages d'Helen et de Charlie on a un travail plus approfondi sur le besoin de reconnaissance des femmes dans ce métier majoritairement masculin.
Une très belle enquête et un bon questionnement sur le devenir des enfants délaissés.
Avec ces petits chapitres où s'exprime l'assassin on peut très bien cerner le personnage et le malaise qui l'habite.
Une ambiance punch, électrique et stressante.
Un polar toujours aussi bien écrit, un suspense très bien mené, une bonne intrique et un excellent dénouement.
Arlidge continu de nous surprendre.
Une lecture palpitante et je sui curieuse de découvrir "Oxygène" pour connaître l'évolution de la relation entre Helen et Jonathan Gordam son nouveau supérieur, et suivre la carrière de cette peste de'Emilia