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Les histoires offertes ici la dgustation du lecteur sont semblables ce breuvage qui fut longtemps, avant d'tre un plaisir, une mdecine. Les contes autant que le th participent du mme art : celui de la relation, du partage, de l'treensemble ( ...) Les contes de la chambre du th ont le parfum fragile mais combien mouvant d'un au-del des apparences o le silence merveille, o les coeurs battent l'unisson.
Ils constituent une religion, au sens premier du terme : ils nous relient, intimement. Comme le th. Sophie de Meyrac est une parfaite servante de cet esprit-l. Elle a ce qu'il faut de sobrit, de prcision, de sensibilit et de culture, je veux dire : d'attention amoureuse envers les usages de ces pays Chine, Japon, Tibet qui l'ont accueillie. Henri Gougaud