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Le problème de la liberté a priori est un non-sens. La liberté n'existe qu'a posteriori. Dans la première partie de l'ouvrage, un a priori a été posé, celui de la croyance. Dans la seconde, un a posteriori a été pensé, au fil de l'habitude. C'est par l'habitude, par le principe de répétition et d'indétermination, que la liberté se fait, qu'une téléonomie, comme projet du vivant, se définit. Le savoir, en Occident, n'est pas nihiliste.
Il est comme tout savoir. Sans origine. Sans destin.