Gamiani - E-book - ePub

Note moyenne 
Alfred de Musset est l'un des auteurs du panthéon romantique français. Étudiant brillant, intéressé par la médecine et le droit, il se consacre... Lire la suite
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  • Ebook
    • Gamiani
      ePub
      Paru le : 12/12/2019
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    • Gamiani
      Edition en italien
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      Paru le : 02/07/2013
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Résumé

Alfred de Musset est l'un des auteurs du panthéon romantique français. Étudiant brillant, intéressé par la médecine et le droit, il se consacre pourtant à la littérature dès ses 18 ans. Il est l'auteur de textes majeurs comme Lorenzaccio ou La Confession d'un enfant du siècle. Il aura notamment une relation tumultueuse faite de ruptures et de réconciliations avec George Sand. Dans Gamiani, lors de deux nuits d'excès libertins, la comtesse éponyme, la jeune Fanny et Alcide couchent ensemble.0 Entre leurs ébats, les trois libertins se racontent toutes leurs péripéties sexuelles, même les pires - surtout les pires ! Il s'agit du livre le plus réimprimé (avec plus de 40 éditions) de tout le XIXe siècle. Réservé pour un public averti.

Caractéristiques

  • Date de parution
    12/12/2019
  • Editeur
  • ISBN
    978-2-36075-739-8
  • EAN
    9782360757398
  • Format
    ePub
  • Nb. de pages
    53 pages
  • Caractéristiques du format ePub
    • Pages
      53
    • Taille
      930 Ko
    • Protection num.
      Digital Watermarking

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À propos de l'auteur

Biographie d'Alfred de Musset

Avant Baudelaire, Musset (1810-1857) peut bien faire figure de poète maudit: rarement un écrivain a mis une telle constance à refuser de faire carrière et à se détruire. L'avenir qui s'offre au jeune homme de dix-huit ans, reçu parmi les écrivains qui peuplent le salon de l'Arsenal de Nodier, est pourtant prometteur. Mais Alfred de Musset - ce sera une de ses constantes - préfère la vie à l'écriture et use ses nuits avec divers joyeux compagnons de débauche. À dix-neuf ans, ses Contes d'Espagne et d'Italie l'ont déjà fait remarquer, mais l'échec, en 1830, de La Nuit vénitienne à l'Odéon l'éloigne pour longtemps des salles de théâtre.
Son oeuvre dramatique sera constituée de pièces à lire "dans un fauteuil": À quoi rêvent les jeunes filles (1832), Les Caprices de Marianne (1833), On ne badine pas avec l'amour (1834) et Lorenzaccio sont publiés dans la Revue des Deux Mondes bien avant d'être représentés sur scène. Les années 1830-1839 témoignent d'une grande activité créatrice. Musset écrivait tantôt très vite, tantôt avec peine, s'aidant de l'alcool au cours de longues nuits solitaires où il interdisait à quiconque de pénétrer dans sa chambre. Jouant de tous les registres, Musset ne tarde pas à ironiser avec verve sur ses amis romantiques.
Plus angoissée, La Nuit de décembre évoque la présence obsédante de l'autre: "le malheureux vêtu de noir, /Qui me ressemblait comme un frère". La tumultueuse liaison avec George Sand n'apporte pas à Musset d'apaisement. Il revendique hautement sa débauche dans La Confession d'un enfant du siècle: "la vue d'une femme me faisait trembler. Que de fois je me suis relevé, la nuit, baigné de sueur, pour coller ma bouche sur les murailles, me sentant prêt à suffoquer!" L'amour, à la fois plaisir et passion, est une excellente raison de vivre et de mourir: Rosette (On ne badine pas avec l'amour, 1834) et Coelio (Les Caprices de Marianne, 1833) meurent pour avoir trop cru à l'amour; Lorenzaccio, lui, cherche sa voie, déchiré entre la débauche et la pureté. Après 1840, comme fatigué et dédaigneux du monde, Musset ne publie plus.
À partir de cet instant, des sonnets, des chansons, des stances commencent à traîner pêle-mêle sur sa table. "Il s'amusait à les écrire à la hâte, quelque fois en abrégé, sur des chiffons de papier, sur une enveloppe de lettre, (...) comme pour établir que tout cela n'intéressait que lui et ne devait pas voir le jour." Musset rejoignait peu à peu le "frère vêtu de noir": "Viens à moi sans inquiétude.
(...) / Ami, je suis la Solitude." Les années 1847-1848 voient un regain d'intérêt pour l'oeuvre de Musset, qui fait jouer deux nouvelles pièces: Il faut qu'une porte soit ouverte ou fermée et Il ne faut jurer de rien. L'élection à l'Académie française récompense en 1852 Le Poète déchu (titre d'une confession inachevée de 1839) et rappelle à la mémoire de chacun l'auteur de La Nuit de mai: "Les plus désespérés sont les chants les plus beaux, Et j'en sais d'immortels qui sont de purs sanglots".

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