Jusqu'à aujourd'hui, Robert Soulières est l'auteur de 60 albums ou courts romans, 19 romans pour adolescents et 24 nouvelles. Huit de ses livres ont été primés, notamment Casse-tête chinois (1985), qui a mérité le prix du roman jeunesse du Conseil des Arts du Canada et Le visiteur du soir (1980), qui a obtenu le prix Alvine-Bélisle. Par ailleurs, Un cadavre de classe a remporté le prix du livre M.
Christie en 1998 (catégorie 12 ans et plus) alors qu'Une gardienne pour Étienne (illustrations Anne Villeneuve éditions les 400 coups) remporta le prix M. Christie en 1999. Quant à L'Homme aux oiseaux, il a reçu une mention d'honneur du International Board of Books for Young People (IBBY) lors de sa parution.
L'Association des auteurs de la Montérégie lui décerne son prix pour la jeunesse à trois reprises pour Un cadavre stupéfiant (2003, Soulières éditeur), L'abécédaire des anibêtes (en 2010, aux Heures bleues) et pour Le premier jour (en 2011, éditions les 400 coups).
Il a été Finaliste au Prix des Libraires (2016) avec son recueil de poésie Hier, tu m'aimais encore.
Il a également reçu le Prix Reconnaissance de l'UQAM en 2017 et le Prix Fleury-Mesplet en 2018. L'Association des écrivains québécois pour la jeunesse ainsi que Communication-Jeunesse l'ont consacré membre d'honneur.
À ce jour, il a fait paraître plus de 60 ouvrages dont Une gardienne pour Étienne, Le prince des marais et Le baiser maléfique aux 400 coups.
Je n'ai peur de rien est son premier album tout-carton. Au printemps 2021, il a reçu le Prix Claude-Aubry, décerné par IBBY Canada, reconnaissait son apport exceptionnel à la littérature québécoise pour la jeunesse depuis plus de 30 ans.
Robert Soulières partage encore et toujours son temps entre l'édition, les salons du livre et l'écriture.
Les illustrations d'Alain Pilon égayent vos journaux, vos revues et vos livres depuis de nombreuses années.
Ses dessins combinent une ligne délicate et des couleurs douces qui transforment de manière ludique le banal du quotidien. En tant qu'homme aux multiples talents, son art peut prendre différentes formes, allant du collage de style dadaïste aux esquisses à l'encre dans lesquelles on peut sentir l'influence de la bande dessinée classique. Je n'ai peur de rien est son premier album jeunesse aux 400 coups.