L'imprimeur doit mourir - E-book - ePub

Note moyenne 
Vic Verdier - L'imprimeur doit mourir.
- Mais tu as raison, on dirait que les imprimeurs ne font pas de vieux os par les temps qui courent. Il me manquait juste une nouvelle macabre comme celle-là.... Lire la suite
17,99 € E-book - ePub
Vous pouvez lire cet ebook sur les supports de lecture suivants :
Téléchargement immédiat
Dès validation de votre commande
Offrir maintenant
Ou planifier dans votre panier

Résumé

- Mais tu as raison, on dirait que les imprimeurs ne font pas de vieux os par les temps qui courent. Il me manquait juste une nouvelle macabre comme celle-là. Mon père va bientôt pousser son dernier râle, ce qui va tout virer la Verdier & Co. sens dessus dessous. [.] Et mon frère qui en rajoute une couche. Les frères Verdier ne se sont jamais aimés. L'aîné, Victor-Hugo, est le canard boiteux de la famille ; ses parents lui ont toujours préféré son frère cadet, Napoléon-Bonaparte, à qui tout réussit.
Celui-ci revient de la Grande Guerre en héros, juste à temps pour prendre la relève de feu son père comme patron de la Verdier & Co. Vic, lui, doit se contenter de l'imprimerie, un appendice à peine rentable de la maison-mère. Plus que jamais, il a besoin de ses amis : Joan, l'Anglaise qui vend son corps, Madéus, le musicien aveugle du bordel, et Tob, le journaliste juif, auxquels s'ajoutera bientôt Rosie, l'assistante d'un magicien de passage.
Car Vic est inquiet : deux imprimeurs ont été assassinés. Sera-t-il le prochain? Dans L'imprimeur doit mourir, les excès de la rivalité fraternelle servent de carburant à un thriller sur fond de chronique (presque) historique. Campé à Québec, en 1919, ce roman débridé nous fait assister à une soirée de blues avec Tom Millard, à un spectacle de magie à la Houdini et au premier amerrissage d'un hydravion à Québec.
On y trouve même les aventures de Gonzague Aylwin, le feuilleton que Victor-Hugo rédige chaque semaine, en cachette, pour Le Mercure. - Mais tu as raison, on dirait que les imprimeurs ne font pas de vieux os par les temps qui courent. Il me manquait juste une nouvelle macabre comme celle-là. Mon père va bientôt pousser son dernier râle, ce qui va tout virer la Verdier & Co. sens dessus dessous. [.] Et mon frère qui en rajoute une couche. Les frères Verdier ne se sont jamais aimés.
L'aîné, Victor-Hugo, est le canard boiteux de la famille ; ses parents lui ont toujours préféré son frère cadet, Napoléon-Bonaparte, à qui tout réussit. Celui-ci revient de la Grande Guerre en héros, juste à temps pour prendre la relève de feu son père comme patron de la Verdier & Co. Vic, lui, doit se contenter de l'imprimerie, un appendice à peine rentable de la maison-mère. Plus que jamais, il a besoin de ses amis : Joan, l'Anglaise qui vend son corps, Madéus, le musicien aveugle du bordel, et Tob, le journaliste juif, auxquels s'ajoutera bientôt Rosie, l'assistante d'un magicien de passage.
Car Vic est inquiet : deux imprimeurs ont été assassinés. Sera-t-il le prochain? Dans L'imprimeur doit mourir, les excès de la rivalité fraternelle servent de carburant à un thriller sur fond de chronique (presque) historique. Campé à Québec, en 1919, ce roman débridé nous fait assister à une soirée de blues avec Tom Millard, à un spectacle de magie à la Houdini et au premier amerrissage d'un hydravion à Québec.
On y trouve même les aventures de Gonzague Aylwin, le feuilleton que Victor-Hugo rédige chaque semaine, en cachette, pour Le Mercure.

Caractéristiques

  • Caractéristiques du format ePub
    • Pages
      336
    • Taille
      328 Ko
    • Protection num.
      Digital Watermarking

Avis libraires et clients

Avis audio

Écoutez ce qu'en disent nos libraires !

À propos de l'auteur

Biographie de Vic Verdier

Vic Verdier est un pseudonyme que l'auteur, Simon-Pierre Pouliot, a emprunté à son grand-père qui aurait souhaité être publié, lui aussi. Simon-Pierre Pouliot est un gars expansif et opiniâtre de la Vieille Capitale qui a fait le saut périlleux vers la Métropole. (Sacrilège!) Diplômé de l'Université Laval, en histoire, et de l'Université McGill, en communication, il travaille depuis près de dix ans pour le Cirque du Soleil.
Il a trouvé en Vic Verdier un alter ego assez solide pour le suivre dans l'écriture de chroniques montréalaises biscornues. Comme lui, il a été le colocataire d'un clown.

Souvent acheté ensemble

Vous aimerez aussi

Derniers produits consultés

L'imprimeur doit mourir est également présent dans les rayons

17,99 €