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"Des hommes ? Mais il n'y en a plus. Depuis un quart de siècle, ceux qui ont survécu à la guerre ont passé leur temps à se démolir ou à s'emprisonner." Je fus frappé par ces paroles, au point qu'au cours de mes tournées à travers la France, je me surpris à étudier ceux que je rencontrais et je dus remarquer (...) que les plus nombreux, qui - eux aussi - avaient été emportés dans la tourmente, avaient su réagir et reprendre leur place dans une société dont ils n'avaient pas démérité.
C'est en pensant aux uns et aux autres, que j'ai écrit ce roman.