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Un polar addictif, politique, explosif.
Juin 2012. Triomphe politique pour la gauche et gueule de bois pour la droite. Les têtes tombent. Les purges anti-sarkozystes au sein du ministère de l'Intérieur commencent. La commandante Laurence Verhaeghen quitte la DCRI et rallie la Brigade criminelle de Paris. Elle est rapidement rejointe par son ancien collègue Gabriel Prigent, hanté par la disparition de sa fille six ans plus tôt.
Pour leur retour au 36, les deux flics écopent d'une scène de crime sauvage : un ancien cadre politique a tué sa femme et son fils avant de se suicider.
L'enquête débouche sur la découverte
de réseaux puissants, à mi-chemin entre l'organisation pédocriminelle, la prostitution de luxe et l'évasion fiscale. Désabusés par leurs erreurs et leurs doutes, tourmentés par leurs obsessions,
Verhaeghen et Prigent vont partir pour un voyage sans retour vers la barbarie moderne.
Dans la lignée de David Peace ou James Ellroy, une complainte noire et désespérée en forme de descente aux enfers.
B. Dierstein, un nom à retenir !
Prigent et Verhaegen sont deux policiers dont plus personne ne veut. Tombés dans la même équipe, ils devront se mettre sur les traces d'un puissant réseau pédo-criminels, et bien plus encore.
"La cour des mirages" déroule une histoire incroyable entre polar, thriller et fiction politique. Un livre à couper le souffle qui fait rentrer Benjamin Dierstein dans la cour des plus grands ! LE polar de ce début 2022 !