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Saint-Colomban-les-Vignes, 1278, le 3 août. Les travaux de construction du pont allaient bon train jusqu'au jour où Thomas, jeune moine pontifice, rapporte les nouvelles d'une succession de noyades inquiétantes sans que la grève ne retourne aucun cadavre. Serait-ce la malemort ?Quelques temps après le jeune homme s'éprend de Maud, une belle et jeune paysanne curieusement attirée par le pont déserté car jugé maudit par certains.
L'histoire dit que lorsqu'ils sont bâtis par les hommes au-dessus des rivières, des lacs et des étangs, les ponts abritent d'étranges créatures connues sous le nom d'Aquadèmes.À PROPOS DE L'AUTEUR Passionné d'histoire et de littérature, grand voyageur, Jean Lavie nous propose ici un conte fantastique en même temps qu'une quête spirituelle et religieuse qui traverse les siècles.
Original, surprenant, bien écrit
C’est avec intérêt que l’on découvre le monde qui peuple les ponts : les Aquadèmes .
Un Univers créé avec originalité et sûrement aussi avec beaucoup de recherche pour la documentation sur les ponts,
autres faits qui contribuent au bon déroulement du récit
Une culture et une âme de voyageur que Jean LAVIE distille de temps à autre au fil des pages.
L’histoire nous entraîne à la suite de Maud et Thomas à travers les époques
Les personnages sont très bien décrits, on s’attache à beaucoup d’entre eux et pas seulement aux protagonistes principaux
Les chapitres se succèdent en chevauchant
sur différentes époques,
ce qui n’est pas gênant quand on fait
attention à la date en commençant le chapitre.
Le vocabulaire est riche mais sans être compliqué même si je ne connaissais pas la définition du mot « anachorètes »
Le style est bien construit, la lecture en est assez fluide , Tantôt émouvant, tantôt triste ou joyeux,
ce récit est loin d’être monotone
Même si la 3eme partie a un peu de longueur et a su moins captiver mon attention que les deux premières parties.
Et que ce n’est pas la fin que l’on aurait imaginé durant les 2 premières partie. Ce qui est sur, c’est que nous ne regarderons
plus les ponts de la même façon songeant aux Aquadèmes. En tendant l’oreille peut-être entendrons nous leur chant.