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Je n'ai jamais vu le château de Capestang, mais son plafond me hante à travers les images d'un livre, à travers les chansons des troubadours, à travers l'accent et les couleurs d'Anne Slacik... Des échos du cante jondo et d'une saeta perdue viennent ponctuer et, peut-être, troubler ce poème, où d'autres langues apparaissent dont la présence n'a d'autres mobiles et enjeux que ceux, imprescriptibles et mystérieux, d'un amour...
Joseph Guglielmi