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La poésie n'a pas besoin de préface. Pas besoin de poteaux indicateurs et encore moins de « mode d'emploi ». Les chemins de la poésie - comme les chemins que j'aime - ne sont pas goudronnés, aménagés ou fléchés. C'est toi qui le dis : « Ils ne sont pas beaux les hauts murs qui marquent de leurs intentions raides le cours du temps comme des stigmates au bout des espérances. » Je préfère donc ne pas construire un (petit) mur de préface devant ton horizon.
Ceux qui veulent le voir n'ont pas besoin de cela : les « yeux du cour » suffisent. Pour te lire. François de Cornière