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Laubardemont avait coutume de dire : « Donnez-moi deux lignes quelconques d'un homme, et je me charge de le faire pendre. »
Il y a lieu d'espérer que la revision, enfin obtenue, du procès Dreyfus, et la réparation de quelques autres iniquités judiciaires diminueront la puissance des héritiers de Laubardemont : mais il restera toujours vrai de dire : « Montrez-nous une lettre d'un homme, et nous aurons une révélation de son caractère.
»
C'est à ce titre, comme document psychologique, que l'épitre du commandant Marchand publiée par les soins de son ami, M.
Fruit d'une sélection réalisée au sein des fonds de la Bibliothèque nationale de France, Collection XIX a pour ambition de faire découvrir des textes classiques et moins classiques dans les meilleures éditions du XIXe siècle.