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"Et jamais plus je ne devais revoir cet homme, qui, au mois de juin 1940, se fit tuer en pleine déroute; que des camarades d'occasion ensevelirent, la nuit, sous des chênes de la campagne lorraine, dans un paréo rouge et blanc, seul souvenir conservé par lui- avec une fleur océanienne et la large médaille d'or gravée de la devise "Kia Mate Toa", "Mourir en homme" - de l'île de sa retraite; cet homme qui, ce jour-là, regagnait de son long pas souple une case de roseaux en bordure de la plage, mieux que soulagé : délivré par mon départ.".