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Nos c(h)oeurs évanescents se construit donc autant comme l'histoire d'une chorale de collégiens, que comme le portrait de différents membres qui la composent. Avec beaucoup de poésie et d'empathie, Yuhki Kamatani croque le quotidien de ses protagonistes comme peu savent le faire. L'oeuvre parle en filigrane de la vie en groupe, de la construction de soi à l'adolescence (et à la puberté), de l'importance de trouver sa place, du rôle de l'art dans l'expression de son individualité...
Yutaka Aoi est un jeune garçon particulièrement sensible et réservé.
Introverti, c'est grâce à la musique et au chant qu'il s'ouvre aux autres. Aussi, en entrant au collège, il souhtaite en intégrer la chorale. Avec sa voix d'ange très cristalline, il espère même devenir soprano. Mais tandis que la chorale manque de voix masculines, acceptera-t-on qu'il interprète une partie souvent confiée à des femmes ?
Une voix d'ange
Nos c(h)oeurs évanescents est un morceau de douceurs et de sensibilités.
Nous y suivons un jeune garçon à la voix d’ange. Le chant est son plus grand plaisir dans la vie. Et c’est qu’avec lui que ce jeune introverti se révèle. Mais tous les garçons finissent bien par muer un jour.
Le temps est compté. La pression monte et, avec elle, l’anxiété.