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Trop seul, Frédérique n'a pas pu s'oublier, oublier un instant le spectacle peu réjouissant de ce monde qu'il n'a jamais étreint. Oui, le monde était pour lui un spectacle dont le séparait son regard, de plus en plus impitoyable au fil des ans. Il semble toujours avoir été là en témoin de lui-même et de ses comparses, marionnettes de plus en plus distantes et dérisoires, véritablement nulles - et donc absolument comiques dans l'acceptation frédéricienne du terme : « Le sang est comique/la cervelle éclatée est comique/le ventre plus il est ouvert plus il est comique. » Patrice Repusseau