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« Vous voulez savoir comment chaque jour je pactise avec le Diable pour serrer la main de Dieu ? » C'est avec ce premier cri, d'espoir peut-être dans la quête de soi, dans la recherche d'un équilibre dans le déséquilibre, que Jean Guidoni commence à se livrer, dans une véritable mise à nu. Une approche chronologique perdrait ici tout son sens, face à la crudité de la vie, à ce qu'elle est capable de produire dans le pire comme dans le meilleur.
« Faut-il que je raconte, moi je prétends qu'il vaut mieux que j'invente. » Où la vie s'écrit comme un roman, le roman d'une vie romanesque, mais très loin de toute candeur et toujours aux frontières de l'inacceptable.