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Sur le rivage de mes enfers, ton sourire s'élève vers les cieux,
Semblable à une lueur d'espoir, vers une promesse de tendresse.
Rien n'éteindra la flamme qui anime la passion de mon cour.
Elle consumera mon être tout entier, au nom de cet amour démesuré.
Parce que oui, cet amour est démentiel.
Je pourrais passer ma vie à t'aimer,
Seulement parce que je l'aurais décidé.
Et c'est décidé.
C'est toi, que je veux aimer.
Tu es celle à qui, dans une autre époque, j'aurais envoyé des lettres tous les jours,
Des petits bonjours, comme de grandes déclarations d'amour.
Un amour qui n'a pas besoin d'histoire pour voir le jour,
Ses murmures qui hantent les murs de leur douceur,
Ces rêves coincés entre prophétie et désillusion,
Une autre danse, au cour de la passion.
Accorde-moi ta main, fuyons au loin,
Devenons poussières d'étoiles, deux astres divins.