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Après tout, c'était sa faute ! Mathilde n'aurait pas dû poser tant de questions embarrassantes. Ainsi, Louise n'aurait pas été contrainte de la livrer en pâture à ses chers protégés et la vie, aux « Ormes », aurait continué comme avant. Enfin, presque, car Louise n'était pas seule à jouer avec la vie des autres dans cette maison de retraite pour vieillards fortunés. D'autant que Christian, le directeur, avait appris son métier dans de bien peu avouables circonstances.
Et si les « Ormes », ce manoir au nom si tranquille, n'était que l'antichambre de l'enfer ?