En cours de chargement...
Dans une préface, presque une psychanalyse, Eric Allard dit de ces textes échos : " De Duras à Desguin... Quelque chose se passe... Carine-Laure Desguin assimile les mots à de la matière ductile qui n'engagent pas comme des paroles, qui ne sont l'instrument d'aucune idée... Il y a de la chanson, de la mélopée dans les histoires de Duras et les présents textes de Carine-Laure Desguin... " ... A l'issue du second texte, on lit cette phrase : " S'il n'y avait ni la mer ni l'amour, personne n'écrirait des livres.
" Et personne ne serait là pour les lire, pour prolonger, recommencer sans fin le cycle de l'écriture qui, de Duras à Desguin, dans l'intervalle de leurs textes, dans ce qui les réunit par-delà le temps dans le même décor, saisit le lecteur dans le cercle heureux, revivifiant des mots. "