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Quand Crozat, la Bohême, a échappé à la pauvreté, par un bon mariage que lui un citoyen de la rue de Vaugirard fait, il n'a pas rompu avec ses anciens camarades, au lieu de les fuir, ou de les maintenir à distance, il prenait plaisir à les rassembler autour de lui, heureux d'ouvrir sa maison à eux, le confort de qui étaient très différents dans le grenier de la rue Ganneron, qu'il occupait depuis si longtemps.
Chaque mercredi, de quatre à sept heures, il a eu une réunion à son domicile, l'Hôtel des Médicis, et c'était un jour férié pour que ses amis se sont préparés. Quand une nouvelle idée vint à l'un des habitués il a été caressé, mûri, étudié dans la solitude, afin d'être présentée en pleine floraison à l'assemblée. La réception de ses amis de Crozat était agréable, simple, comme l'homme, chaleureux de la part de son mari, ainsi que de la part de la femme, qui, après avoir été une actrice, qui s'est tenue à la religion de camaraderie : Sur une table étaient petits pichets de bière et des verres ; à portée de main était un vieux pot de pierre de Beauvais, plein de tabac.
La bière était bonne, le sec de tabac, et les verres n'ont jamais vide. Et ce n'était pas des sujets stupides qui ont été discutés ici, bavardages mondains, ou bavardent à propos des amis absents, mais les grandes questions qui ont gouverné l'humanité : la philosophie, la politique, la société et la religion.