La confession d'un pompette

Cet essai vient chasser la peur qui s'installe de plus en plus dans le chef de nos frères et soeurs qui ne savent pas aborder les pertinentes problématiques qui font la une de certaines sociétés africaines. Il est ici question à l'opprobre de la beuverie éhontée qui est au coeur de multiples aberrations : la consommation abusive des liqueurs frelatées et autres boissons traditionnelles ou modernes brassées de plusieurs manières (zododo, lotoko, samarino, etc).
Nous ne prétendons pas interdire, mais convier les uns et les autres à l'usage rationnel, tout en conservant les bonnes manières de faire des anciens ; Mulami est le prototype de ces anciens. Nous en appelons à la conscience des uns et des autres. Toutefois, nos cultures ne sont pas si mauvaises qu'elles doivent être rejetées en bloc au profit des autres qui viennent chez nous. Parents, les politiques et politiciens, prêtres et pasteurs, un cri nous est lancé, celui de conduire nos ouailles sur le chemin de la vérité et pour une quiétude dans la cité.