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Vous ignorez l'heure où je m'éveillerai Dans vos yeux qui rêvent d'un soleil parfait Vous ne savez rien de la profonde joie Je ne suis encore qu'un chant, une voix. Fil d'or qui relie les quatrains entre eux, la joie, c'est la plume aux encres de feu, de vent, de sang et d'azur. C'est ce qui reste après le dépouillement. C'est dans l'été, un carillon à toute volée. C'est dans la nuit, un soleil veilleur.
Silence de l'amour, c'est la palpitation originelle. La joie, c'est nous, vivants.