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Dans la culture traditionnelle, la femme africaine est une créature de Dieu emblématique ; dans sa façon d'être, de faire, de penser et de savoir vivre. Elle est le symbole sacré de base de la société traditionnelle. Elle sécurise les institutions ancestrales, et garde jalousement les moeurs, les rites, le secret chéfat, les valeurs des sexes et les autres domaines vitaux de l'homme. C'est depuis les années quatre vingt que cette dernière a commencé par abandonner ses bonnes habitudes, (par) refuser de sa propre nationalité, pour adopter la culture occidentale, en calquant et copiant textuellement les antivaleurs de cette société rusée.
Cette femme africaine non matérialiste, devint petit à petit affamée du matériel ou des matériels. Elle commença aussi à manger tout animal qui lui était interdite, à jouer à la guitare, à s'approcher des masques, à se placer au milieu des hommes ; à porter les vêtements de l'homme, etc...