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Hong Kong. Octobre 2016. 8 h 55. Dans cette partie de la ville, les tatouages servent de passeport. Les ruelles abritent des mendiants estropiés et des jeunes prostituées droguées. Pour ce petit monde, vivre, c'est commencer à mourir. Une sorte de tour de Babel où l'on entend les sabirs les plus baroques. Un bouillon d'êtres vivants réunis en horreur et en absolu. Parallèlement, à l'angle d'une avenue, se dresse la massive Global Iganawa Group.
Une tour d'acier et de verre gardée par deux immenses lions dorés, à la fois structure symbolique pour les autochtones et attraction touristique pour les visiteurs. Mais ces deux univers en opposition masquent une réalité beaucoup plus inquiétante...