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J'étais pas prête à être bousculée. Rupture amicale, sentimentale. Rupture de repères, de personnalité. Je me suis fendue en deux. A partir de ce moment, il y a eu elle et moi. La cohabitation a fonctionné un temps seulement. Jusqu'au jour où de moi, il ne restait plus rien. Jusqu'au jour où je l'ai vue danser, le sourire diabolique accroché à ses lèvres, sur les débris de ce que j'étais autrefois.
Danse, danse, démone. Feu de joie des petits déchets de moi. Danse, danse, courbe-moi. Je n'étais plus qu'une ombre. Je n'avais plus de contenance. Je lui appartenais.