Un sentiment d'insécurité domine parmi ceux exprimés par les Français. Est-ce aux crimes les plus graves ou à la multiplicité de délits journaliers...
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Un sentiment d'insécurité domine parmi ceux exprimés par les Français. Est-ce aux crimes les plus graves ou à la multiplicité de délits journaliers qu'il convient d'en attribuer l'origine ? Peut-on reporter la responsabilité sur l'organisation judiciaire, sur la politique pénale mise en œuvre, ou bien sur une partie stigmatisée de notre population ? À travers le récit fidèle de l'assassinat d'un enfant de sept ans, l'auteur, avocat de profession, souligne les difficultés d'une instruction judiciaire, les hasards qui souvent permettent d'identifier un coupable, mais aussi les erreurs tragiques auxquelles peuvent aboutir les préjugés ethniques. Adieu mon âme montre surtout la nécessité impérieuse de privilégier la protection des victimes.