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Je t'invite à explorer le jardin des souvenirs. Il est vrai que sa mémoire me fait des faux, bon. Le voici, sans correction, sans fard ni ajout, ayant des états d'âmes d'un être en chênes-peuplier, seul pleureur se laissant faire, entend avec les yeux et voit avec les oreilles. Et sans jeu de mots, je nous crie ses maux pour guérir parfois, soulager souvent, consoler toujours, tout en sachant que sa vérité se trouve derrière la face cachée d'un miroir dont la glace se fend, dont il faudrait d'abord amasser les bris, rassembler le puzzle avant d'espérer apercevoir la vôtre : le plus petit bagage pour un long voyage pour tous nos contents pour un est une bourse vide ; il était "je ne me souviens plus" vers sept heures du matin, je roulais vers l'infini mais je ne savais pas que l'un finit ainsi.