Pour Laurence Boissier, écrire c'est jouer. La parodie l'amuse. Elle détourne volontiers des matériaux qui n'ont rien de littéraire : le procès-verbal,...
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Pour Laurence Boissier, écrire c'est jouer. La parodie l'amuse. Elle détourne volontiers des matériaux qui n'ont rien de littéraire : le procès-verbal, le discours statistique... Mais son humour lui sert aussi à accroître l'étrangeté du monde.