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Les textes qui composent "Casus Belli" et "La nuit, ça va" sont sans pitié. Toute la force d'une imagerie surréaliste qui parle directement aux sens est mise au service d'une évocation déchirante de la perte de l'amour et du désespoir qui s'en suit. Pourtant on ne ressent aucune tristesse à cette lecture. Seulement une rage face à ce mur que nous frappons tous un jour et un émerveillement devant une écriture qui décrit parfaitement cette défaite.