CHER PORTE-AVIONS. - Un récit entre ciel et mer

Jean-Louis Thuille

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Jean-Louis Thuille - CHER PORTE-AVIONS. - Un récit entre ciel et mer.
Cher porte-avions ! Ces deux mots témoignent de mes sentiments envers l'irremplaçable moyen de puissance, mais aussi de mon affection pour les hommes... Lire la suite
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Résumé

Cher porte-avions ! Ces deux mots témoignent de mes sentiments envers l'irremplaçable moyen de puissance, mais aussi de mon affection pour les hommes qui mettent en œuvre le navire et ses aéronefs. Cher porte-avions ! exprime également l'amère déception de voir que la France, riche de tant de biens et de potentialités, se soit crue trop misérable pour s'offrir un deuxième porter avions, aussi indispensable à l'Europe qu'à elle-même. Le 28 août 1999, à bord du Charles-de-Gaulle, le Président de la République s'est déclaré " conscient de la nécessité de pouvoir disposer de deux porte-avions pour assurer la permanence en mer."

Sommaire

    • Appareillage
    • Catapultes et appontages
    • Visiteurs
    • Dragages
    • Navires
    • Le convoi Casablanca-Norfolk
    • Barcasses
    • Alarme incendie
    • La bombe
    • " Nous n'irons pas à l'Ecole de guerre "
    • Vive le sport
    • Américains
    • Mondanités
    • Pyrénées
    • Gibraltar
    • Bougaroun
    • Action psychologique
    • Souvenirs d'ailleurs
    • Aéronavale
    • Société
    • Indochine
    • Commandement et tourisme
    • Sauvetages
    • De Khouribga à Brest
    • Nord et sud
    • La Royale.

Caractéristiques

  • Date de parution
    01/09/1999
  • Editeur
  • ISBN
    2-913471-08-0
  • EAN
    9782913471085
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    222 pages
  • Poids
    0.52 Kg
  • Dimensions
    16,4 cm × 23,0 cm × 1,6 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Jean-Louis Thuille

Entré à l'École navale le 23 octobre 1941, Jean-Louis Thuille franchit les Pyrénées en novembre 1943 pour servir en Atlantique, puis dans le Pacifique à bord du La Grandière. Dans l'aéronavale, il pilote des Wellington puis des Junkers. Il commande deux fois une division de dragueurs de mines. Il sert à bord de plusieurs porte-avions, notamment le Clemenceau, à la fin de la guerre d'Algérie. Ces opérations aéronavales, racontées au présent, lui rappellent des souvenirs dont la table des matières indique la variété.

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