Maria Teresa Guaitoli, diplômée de l'université de Bologne, au sein du département d'archéologie de cette même université a participé à de nombreuses campagnes de fouilles sur des sites remontant à la protohistoire ou au Moyen Age, en collaborant avec la surintendance des biens archéologiques d'Emilie-Romagne, de Vénétie et des Pouilles. En qualité de responsable technique de l'Université de Bologne, elle a également pris part, aux fouilles de l'oppidum celtique de Bibracte, en Bourgogne, et à l'examen des anciens bâtiments conventuels du complexe monumental de San Giovanni in Monte, à Bologne, en Italie.
Elle a organisé des séminaires sur l'étude des techniques de construction médiévales et sur l'archéologie sous-marine à l'université de Parme et à la faculté de conservation des biens culturels. Elle est en charge des expositions et des colloques organisés par le département d'archéologie et est rédactrice de la revue Ocnus (Quaderni della Scuola di Specializzazione in Acheologia). Ses publications traitent essentiellement de l'ornementation dans l'Antiquité et du rapport entre les sources littéraires anciennes et les données archéologiques.
Diplômé de l'école de spécialisation en archéologie de l'université de Bologne avec un mémoire de maîtrise intitulé Structure et emploi du monopteros dans l'architecture romaine, Simone Rambaldi participe activement depuis de nombreuses années aux campagnes de fouilles organisées par le département d'archéologie de l'université de Bologne, notamment celles de la ville grecque-hellénistique de Phoinike, en Albanie, et celles de la Villa de Théodoric, à Galeata, en Italie.
Titulaire d'un doctorat en archéologie romaine, il enseigne également l'archéologie classique au sein de cette même université.