Ce ne sont pas les visages que je photographie. J'ai plutôt le sentiment de vouloir capter un souffle. À Chartres, au printemps 1945, la lumière défilait...
Lire la suite
Ce ne sont pas les visages que je photographie. J'ai plutôt le sentiment de vouloir capter un souffle. À Chartres, au printemps 1945, la lumière défilait devant moi. Et j'ai capté un souffle. Celui de Simone.