Deux lettres sur l'individu, la société et la vertu - Poche

Note moyenne 
Le rousseauisme a nui à la réception de la philosophie de Jean-Jacques, qui avait une conception de l’homme et de la société plus nuancée que celle... Lire la suite
3,00 € Neuf
Actuellement indisponible

Résumé

Le rousseauisme a nui à la réception de la philosophie de Jean-Jacques, qui avait une conception de l’homme et de la société plus nuancée que celle que lui a prêtée la postérité. C’est ce que nous dévoile admirablement deux lettres méconnues du Genevois qui résument très efficacement sa philosophie politique avant qu’il n’écrive Du contrat social et L’Émile. En 1755, il expose à un naturaliste suisse qui a pour nom de plume Philopolis (Lettre à Philopolis) les principes de vertu que requiert de tous les hommes l’état social, laborieux, forcément laborieux collectivement.
En 1757, dans une lettre oubliée (Lettre sur la vertu), il revient sur le passage de l’état de nature à l’état social, et la transformation de la bonté naturelle en un nécessaire rapport à autrui. La vertu et le souci du commun ont une place centrale. On est bien loin de l’idée réductrice propagée ensuite par l’individualisme : la société, c’est mal !

Sommaire

  • JEAN-JACQUES ROUSSEAU LETTRE A M
  • PHILOPOLIS
  • LETTRE SUR LA VERTU
  • CYRIL MORANA LE LIEN SOCIAL, UNE LIAISON DANGEREUSE ?
  • VIE DE JEAN-JACQUES ROUSSEAU
  • REPERES BIBLIOGRAPHIQUES

Caractéristiques

  • Date de parution
    21/03/2012
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-7555-0653-2
  • EAN
    9782755506532
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    53 pages
  • Poids
    0.042 Kg
  • Dimensions
    10,5 cm × 15,0 cm × 0,5 cm

Avis libraires et clients

Avis audio

Écoutez ce qu'en disent nos libraires !

Souvent acheté ensemble

Vous aimerez aussi

Derniers produits consultés