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K. , le grand photographe, vient de mourir. Sur la télé, les images défilent. Et parmi ces photos, il en est une dont Vincente guette l'apparition. Celle d'une très jeune femme maquillée comme une pute, les seins dressés dans une guêpière sans bonnets, qui se renverse dans les bras d'un homme aux cheveux gominés. " Un petit frisson m'a parcourue, écrit-elle. Je me suis réjouie de l'absence de mon mari, car pour quelqu'un qui me connaît intimement, mes seins, mes fesses et mes cuisses étaient très reconnaissables.
" Dans ce récit elle nous décrit les débauches qu'elle a vécu en Italie, de 1978 à 1982, en compagnie de K. qui était alors son amant, son propriétaire, son complice, son éducateur... et son " maquignon ". Ah, c'était vraiment la dolce vita !