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En ce début du XXIe s., il ne se passe pas de jour sans qu'on parle d'attentat, d'enlèvement, de guerre, de jihad, etc. Cette remarque existentielle nous a motivé dans la remise au goût du jour de la sempiternelle question de la raison d'être de l'ONU, organisation créée pour que les mots et les maux ci-dessus sortent du vocabulaire des humains. Mais hélas ! Après un bilan sommaire de ce gouvernement supranational, un constat se dégage : la permanence de l'impérialisme et du sous-développement sous toutes leurs formes.
L'Afrique est ainsi flouée par ceux qui gèrent le monde depuis toujours et qui font d'elle un laboratoire où est expérimenté tout ce qui nuit à l'homme créé à l'image de Dieu. Jusques à quand l'Afrique va-t-elle vivre cette oppression ? Pourtant tout n'est pas perdu si l'ONU est réformée pour le bien de tous ! Sinon, l'Afrique, demeurée enjeu stratégique pour les prédateurs de tous bords, pourrait se retirer et se consacrer à la construction du seul édifice qui vaille la peine : son unité, en menant à cet effet l'ultime combat qui jusque-là n'a pas été mené: la décolonisation spirituelle.
Chercheurs et étudiants en relations internationales y trouveront du grain à moudre.