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"J'ai toujours béni ce vent armoricain, qui lave le ciel et chasse les papillons noirs", s'écrie le narrateur du récit. Le deuil sied moins à la Bretagne qu'à Electre, et la grande marée des criques turbulentes a raison des scories et des laves. Méditation sur la mort et la vie, ou plutôt la survie. Comme le cornet à dés décide de l'avenir hasardeux, sans jamais l'abolir, le narrateur, veuf de fraîche date, prend, au fil des jours, le pouls de sa liberté, apprend à reconnaître, dans la redistribution des cartes sous le ciel délavé du Guildo, dans les Côtes-d'Armor, le visage du bonheur".