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"Celui, handicapé, celui, poète, qui nie son propre handicap (sa poésie de première sorte, manifestée : ce pour quoi Arthur Rimbaud demeure un phénomène), c'est finalement son affaire. Libre à lui. Il est à parier que, petit à petit, son invalidité (sa poésie) le rattrapera bien toute seule et sans l'aide de quiconque - Saura se manifester à sa conscience. Pour, peut-être, ensuite, permettre au handicap constitutif de se manifester.
Essaimer la poésie. Celui, par contre, qui refuse d'accepter le handicap d'autrui, refuse d'accepter la poésie d'autrui, s'expose à la honte". C. L. E.