Hugo Pectoralis ou une volonté de fer - Grand Format

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Nikolaï Leskov - Hugo Pectoralis ou une volonté de fer.
C'est pétri d'illusions que le jeune ingénieur Hugo Pectoralis débarque de son Allemagne natale dans un petit village reculé de la campagne russe,... Lire la suite
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Résumé

C'est pétri d'illusions que le jeune ingénieur Hugo Pectoralis débarque de son Allemagne natale dans un petit village reculé de la campagne russe, chargé de moderniser une grosse exploitation agricole en introduisant des méthodes novatrices de travail. Rempli d'une volonté de fer, il apprend le russe en six mois, grimpe dans la hiérarchie, déterminé à imposer sa vision du monde qui, pense-t-il, améliorera le sort des paysans et générera des profits à l'entreprise.
Mais, projeté dans l'univers inconnu de la Russie profonde et de ses habitants, prisonnier de sa vanité et de son entêtement, Pectoralis connaît très vite des démêlés avec Safronytch, un brave paysan veule et ivrogne qui, sans le vouloir, le conduit à sa perte. Car les moujiks l'observent, incrédules, le narguent, jusqu'à ce qu'il devienne la risée du village tout entier. Comme dans Oblomov, le grand roman d'Ivan Gontcharov, Leskov oppose la Russie éternelle à l'Occident, personnifié par Hugo Pectoralis.
Avec son lot d'images et sa morale finale, ce petit roman échappe à son temps et s'offre à la lecture avec une bonne humeur jubilatoire.

Caractéristiques

  • Date de parution
    18/11/2004
  • Editeur
  • ISBN
    2-84545-102-4
  • EAN
    9782845451025
  • Format
    Grand Format
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    180 pages
  • Poids
    0.22 Kg
  • Dimensions
    12,0 cm × 20,0 cm × 1,2 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Nikolaï Leskov

Nikolaï Leskov (1831-1895) est l'un des maîtres de la prose russe. Ses nouvelles, traduites dans le monde entier, mettent en scène dans des tableaux à la fois ironiques, grotesques et dramatiques, la société russe provinciale du XIXe siècle. Chostakovitch tira un opéra de Lady Macbeth du district de Mzensk (1865), son œuvre la plus connue. " Il y a chez Leskov trop de bonnes choses ", écrivait Tolstoï.

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