Le décor omniprésent est le personnage principal de ce roman fait de désespérance, de poésie, de violence et d’amour qui donne à « contempler les ruines de notre propre civilisation », dans laquelle errent quatre fantômes ordinaires qui se révèlent héroïques chacun à leur façon. Triste et beau à la fois.
IL ETAIT UNE VILLE
Le décor omniprésent est le personnage principal de ce roman fait de désespérance, de poésie, de violence et d’amour qui donne à « contempler les ruines de notre propre civilisation », dans laquelle errent quatre fantômes ordinaires qui se révèlent héroïques chacun à leur façon. Triste et beau à la fois.