En cours de chargement...
Dans J'ai tué (1918) prose poétique vertigineuse, Cendrars relate l'assaut d'une tranchée qui le conduit à poignarder un soldat allemand ; dans J'ai saigné (1938), il raconte la perte de son bras droit et sa convalescence aux côtés des autres blessés de guerre. Réunies ici en diptyque, deux nouvelles sur la douleur et la perte, la résilience et la guérison. Blaise Cendrars (1887-1961) est une figure majeure de la littérature de langue française du XXe siècle.
Il a parcouru le monde et l'a retranscrit en une langue puissante et novatrice. Préface de Christine Le Quellec Cottier